pierre a écrit: Bon sérieusement ! Il faut arréter de dire que cette voiture est laide !
Votre réaction est tout a fait normale ! Je pense que vous avez attendu 2 ans une voiture que vous pensiez révolutionnaire etpuis ben vous etes comme un enfant qui a ouvert son cadeau de noel,vous la désiriez tellement et vous aviez fondé tellement de choses en elle ( fluence, altica ...) qu'en l'ouvrant ... vous etes décus ! et c'est totellement normal ! Mais restons objectifs ... elle est loin d'etre laide ! elle est sensuelle, fluide, robuste, elle va plaire ! c'est une évidence ! c'est sur que ce n'est pas une voiture pour érudis comme notre Vel-Satis ... La Passat se vend bien ! alors pourquoi pas cette laguna !
Remarquons aussi des "révolutions" dans cette voiture, les 4 roues, le retour des courbes chez renault, un interrieur énorme, la forme de la lunette arrière! faites confiance à Ghosn, il a l'expérience, etpuis cette voiture a été étudiée ! elle se vendra !
J'aimerai que tu es raison, au moins pour les salariés de Renault, mais je n'y crois pas un instant.
Sur cette voiture, il n'y a guère que la courbe des flancs qui soient fuïde et dynamique. Le reste, l'avant comme l'arrière est pataud (arrière trop haut perché, avant aux feux trop globuleux).
L'interrieur, ont en a pas vue grand chose. En ce qui concerne l'habitabilité, la reprise de la plateforme de la Laguna II (d'après AJ) fait que ça n'évoluera pas beaucoup dans ce domaine.
D'autre part, la nouvelle "identité" de Renault me semble présenter trois défeut majeurs. Tout d'abord, ça fait très "bricolage de derbière minute", pas sérieux, hasardeu. Ensuite, cette bouche béante, façon Peugeot, mais en faisant "la gueule", n'est pas du meilleur goût. Enfin, c'est le reniment de la précédente identité appaue sur Laguna I : le bec de fer.
Pourtant, avec les concepts Fluence, Zoe, Egeus, Altica, Renault tenait une identité, qui plaisait au publique, qui était originale, sans être choquante, qui était élégante et dynamique (au contraire de la nouvelle), qui, surtout, était la continuation de l'identité précédente, puise-que dans cette calandre pleine, c'est tout le capo qui devenait le bec de fer.
Bref, face à une concurence disposant d'une bien meilleur image de robustesse, de fiabilité, qui commence à comprendre qu'une voiture, même classique, doit avoir de la personalité pour ne pas être banale, cette voiture sans âme, avec la réputation dont Renault ne parviend pas à ce défaire, est bien mal partie.
J'aime Renault, mais il faut être réaliste.