Pour revenir au design de cette futur Laguna III dont on peut être à peu près certains, malheureusement, qu'il ne sera qu'un évolution de l'actuelen ce qui concerne l'exterrieur, ce qui m'inquiète le plus, c'est l'avant, la calandre.
D'une certaine manière, c'est l'avant (forme de la callandre, des blocs optique, etc...) d'une voiture qui marque l'identité de la marque. Hors, il semble que Renault est clairement renoncé à la calendre pleine, malheureusement, et qu'on est droit en lieu et place à une sorte de bricologe de dernière minute du pire effet.
Quand ou voit Twingo Concept présenté à Paris et la version définitive en "normale" (le version GT est plus réussie) dont la face avant fait vraiment bricolage de dernière minute avec une fente mal inséré dans le reste, ça fait peur d'imaginer la même chose sur une Laguna III qui doit marquer le Renouveau de la marque !
D'autre part, cela va être dificile à concilier avec un Koleos qui semble devoir conserver le Bec de fer des Renault actuelles.
Bref, en matière de design, c'est un bond en arrière de 30 ans qui semble s'annoncé,un retour à une époque où iln'y avait aucune unité stylistique dans la marque.
D'autre part, faire une voiture consensuelle est une chose, mais faire une voiture inssipide, sans personalité est sans aucun doute le meilleur moyens de faire un flop !
La référence de la catégorie, celle qui se vend le mieux, la BMW Série 3, si elle possède des volume classique,dispose d'une forte personnalité qui la diférencie des ces concurentes directes. Une BMW ne ressemble que très vaguement à une Mercedes ou une Audi équivalente.
Il ne faudrait pas croire, que recopier des éléments de voiture concurente par çi par là, comme cela à été fait sur Twingo, sufira à faire revenir les clients. La meileure preuve, c'est que c'est ce que faisait Lexus il y a peu avant de changer son fusil d'épaule et de chercher se propre personalité, car ça ne prenait aps en Europe.
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"Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux." Benjamin Franklin