Pas mal du tout ! Je crois que le premier problème des voitures françaises, c'est justement qu'elles sont française. La mode est aux voiture allemandes que l'on affuble de toutes les qualités sans aucun sens critique.
Il suffit de voir comment les français, mâmes et surtout les fans français de marques française traitent les anciennes de leur marques fétiche, et surtout chez Renault.
Je suis toujours surpris de voir avec quel mépris les fans de Renault actuelles (pas les fans d'anciennes évidamment) traite les anciennes Renault comme la Fuego, la R15/17, les R14, etc...
J'ai été déçu de voir, sur ce site, certains commentaire, lors de la présentation de la Laguna coupé dans Turbo, où la Fuego à servis de faire valoire, a été jugé sans tenir compte de son âge, etc...
Peut être que les voitures françaises actuelles retrouverons de l'attrait quand leurs fans arrêterons d'avoirs honte de celles qui les ont précédées.
Désolé pour ce HS, mais cette petite vidéo m'a inspiré.
Ubuntu a écrit:
Je crois quand même qu'il y a eu quelques "fuites", ne serait-ce que le fait que Ceres nous disent qu'on est dans le faux avec nos chops, prouve qu'il y a bien un restylage de prévu.
Sinon je pense que le restylage sera léger un peu comme pour la Lag 2. Bien sur on peut penser qu'il serait intéressant de sortir la grosse artillerie (pour rester dans le ton du montage vidéo "la chute ") pour casser l'image fadasse que cette voiture se traine depuis son lancement. Mais je suis loin d'être sur que cela suffirait pour relancer significativement les ventes, et donc de rentabiliser l'investissement que cela représenterait.
Donc je pense que ce sera le minimum syndicale pour ce restylage, en attendant de voir comment évolue le segment, et notamment comment se comporte la 508.
Effectivement, attendons de voir cette 508 ! Peugeot, comme Ford avec la Modéo actuelle, comme Citroën avec la C5.II et Renault avec la futur Safrane, vajouer la carte de "inter-segment". L'idée me semble fort interressante.
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"Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux." Benjamin Franklin