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Formule 1
C'est clair : c'etait complétement illogique.
Montany connait forcement + la voiture (pilote essayeur) que Villeneuve (restaurateur ?). Vraiment, j'ai pô compris.
Maintenant, je suis super content pour BAR
Cette équipe n'a pas volé se deuxième place ! BRAVO :amen:
Je trouve ça lamentable, alors bien sur on va dire reconnaître ces erreurs c’est bien ! Mai au bout de trois courses c’est lamentable pour des dirigeants de ce niveau, comment peut ont encore leurs faire confiance ? Comment les hommes qu’ils dirigent peuvent leur faire confiance ! Trulli, lui a fait une erreur, une inattention d’une fraction de secondes qui a coûté deux points à l’équipe il l’a payé chère ; eux se contentent de reconnaître que c’était une erreur tout en se disculpant parce que commercialement c’était une bonne décision, ça c’est eux qui le disent, c’est invérifiable et je suis loin d’être sur que l’image de Renault ressorte grandit par une t’elle affaire !
Et puis tout le monde savait que c’était une erreur dés le début ou au moins avaient des doutes
Des spécialistes comme Prost au néophyte comme Wroum Wroum
Pire c’était une erreur doublée d’une injustice, Injustice envers Trulli, et envers Montagny don les deux dirigeants en question louaient son travaille pour l’équipe !
Des hommes d’honneurs des grands patrons auraient la décence de présenter leur démissions. Eux ils font de l’auto satisfaction (Objectif atteint ) sa me dégoûte si c’est ça la F1 je vais plus supporter, et si un jour Renault est champions ça sera pas grâce a eux mais je leur fais confiance (surtout Briator) pour venir pavoiser devant les caméras.
Vivement que Carlos fasse le ménage !
Bilan SAISON 2004
Citer +
Voilà le dernier GP vient de se finir avec une 4em place pour Alonso et une 3em pour Renault. MISSION ACCOMPLIE.
Mettez ici vos impressions, vos photos etc...
Mettez ici vos impressions, vos photos etc...
Excellent début de saison un peu gaché par des choix strategiques et politiques plus que discutables sur la fin...
Mais globalement, qu'est ce que l'on peut s'ennuyer devant une course de F1...
J'espere qu'en 2005 le 2nd pilote Ferrari acceptera de se battre avec le 1er... et que Renault et Bar progresserons encore.
Mais globalement, qu'est ce que l'on peut s'ennuyer devant une course de F1...
J'espere qu'en 2005 le 2nd pilote Ferrari acceptera de se battre avec le 1er... et que Renault et Bar progresserons encore.
Oui autant pendanyt la saison 2003 je me faisais pa trop chier mais LA c affreux.
A la fin je regardais le départ et après je zappais
A la fin je regardais le départ et après je zappais
Le Président du Renault F1 Team félicite ses troupes, qui ont une nouvelle fois démontré leur sérieux en atteignant l’objectif assigné l’hiver dernier : finir à la troisième place des équipes.
Lorsque vous avez déterminé les objectifs de la saison 2004 et avez choisi de viser la troisième place des équipes, avez-vous eu le sentiment d’en demander un peu trop ?
Patrick Faure : En tant que patron d’une équipe, mon rôle est de fixer des objectifs toujours revus à la hausse par rapport à la saison précédente. C’est le seul moyen de motiver les troupes, de cristalliser les énergies, de maintenir la spirale du succès. Lorsque j’ai donné l’objectif au Renault F1 Team de décrocher la troisième place des équipes, je savais qu’il nous faudrait déloger McLaren, Williams ou Ferrari. C’était ambitieux et je crois que peu d’observateurs jugeaient nos ambitions réalistes à ce moment.
Finalement, ce résultat est bel et bien décroché. Un motif de satisfaction ?
Patrick Faure : Bien entendu, et je félicite toute l’équipe pour le travail effectué cette saison. Mission accomplie : nous sommes loin devant le 4ème et très proches du 2ème. Il est vrai, cela dit, que ce résultat a été atteint de manière curieuse. Nous terminons devant Williams et McLaren, qui sont des monstres de la F1, mais derrière BAR, équipe contre laquelle nous ne nous attendions peut-être pas à nous battre cette année. Au final, la saison 2004 est très, très positive pour nous.
Ces derniers temps, le Renault F1 Team a été la cible des rumeurs les plus folles. Pourquoi ?
Patrick Faure : Nous avons toujours privilégié l’ouverture comme politique de communication. Nous sommes transparents, ne voulons pas contrôler les paroles des uns et des autres. Nous préfèrons laisser les personnalités s’exprimer. Dès lors, nous sommes peut-être plus exposés aux rumeurs. Cependant, je n’y accorde aucune importance et l’équipe non plus. Notre travail n’en souffre pas. Finalement, les gens sont plus souvent peu informés que justes.
Aucune inquiétude à avoir, donc, sur l’implication de Renault en F1 ?
Patrick Faure : Aucune. J’ai rencontré récemment Carlos Ghosn, le prochain Président du groupe Renault. Son message a été clair : « Continuez ! » Je répète donc que notre entreprise est impliquée en F1 pour longtemps encore. Quant à l’avenir de notre collaboration avec Flavio Briatore, il me semble prometteur. Jusqu’à présent, Flavio a atteint tous les objectifs fixés. S’il y parvient une nouvelle fois en 2005 –et il n’y a aucune raison pour qu’il n’y parvienne pas-, nous serions très heureux de poursuivre l’aventure en sa compagnie en 2006.
Quels seront-ils, ces objectifs ?
Patrick Faure : Nous ne les avons pas encore clairement définis mais, une fois encore, il nous faudra aller de l’avant. Nous voulons pouvoir jouer le titre mondial en 2005-06 et, pour y parvenir, nous devrons faire partie de ceux qui pourront inquiéter Ferrari à la régulière l’année prochaine. Je suis persuadé que la saison 2005 sera bien plus disputée. Le meilleur reste à venir pour l’écurie Renault F1 Team.
Lorsque vous avez déterminé les objectifs de la saison 2004 et avez choisi de viser la troisième place des équipes, avez-vous eu le sentiment d’en demander un peu trop ?
Patrick Faure : En tant que patron d’une équipe, mon rôle est de fixer des objectifs toujours revus à la hausse par rapport à la saison précédente. C’est le seul moyen de motiver les troupes, de cristalliser les énergies, de maintenir la spirale du succès. Lorsque j’ai donné l’objectif au Renault F1 Team de décrocher la troisième place des équipes, je savais qu’il nous faudrait déloger McLaren, Williams ou Ferrari. C’était ambitieux et je crois que peu d’observateurs jugeaient nos ambitions réalistes à ce moment.
Finalement, ce résultat est bel et bien décroché. Un motif de satisfaction ?
Patrick Faure : Bien entendu, et je félicite toute l’équipe pour le travail effectué cette saison. Mission accomplie : nous sommes loin devant le 4ème et très proches du 2ème. Il est vrai, cela dit, que ce résultat a été atteint de manière curieuse. Nous terminons devant Williams et McLaren, qui sont des monstres de la F1, mais derrière BAR, équipe contre laquelle nous ne nous attendions peut-être pas à nous battre cette année. Au final, la saison 2004 est très, très positive pour nous.
Ces derniers temps, le Renault F1 Team a été la cible des rumeurs les plus folles. Pourquoi ?
Patrick Faure : Nous avons toujours privilégié l’ouverture comme politique de communication. Nous sommes transparents, ne voulons pas contrôler les paroles des uns et des autres. Nous préfèrons laisser les personnalités s’exprimer. Dès lors, nous sommes peut-être plus exposés aux rumeurs. Cependant, je n’y accorde aucune importance et l’équipe non plus. Notre travail n’en souffre pas. Finalement, les gens sont plus souvent peu informés que justes.
Aucune inquiétude à avoir, donc, sur l’implication de Renault en F1 ?
Patrick Faure : Aucune. J’ai rencontré récemment Carlos Ghosn, le prochain Président du groupe Renault. Son message a été clair : « Continuez ! » Je répète donc que notre entreprise est impliquée en F1 pour longtemps encore. Quant à l’avenir de notre collaboration avec Flavio Briatore, il me semble prometteur. Jusqu’à présent, Flavio a atteint tous les objectifs fixés. S’il y parvient une nouvelle fois en 2005 –et il n’y a aucune raison pour qu’il n’y parvienne pas-, nous serions très heureux de poursuivre l’aventure en sa compagnie en 2006.
Quels seront-ils, ces objectifs ?
Patrick Faure : Nous ne les avons pas encore clairement définis mais, une fois encore, il nous faudra aller de l’avant. Nous voulons pouvoir jouer le titre mondial en 2005-06 et, pour y parvenir, nous devrons faire partie de ceux qui pourront inquiéter Ferrari à la régulière l’année prochaine. Je suis persuadé que la saison 2005 sera bien plus disputée. Le meilleur reste à venir pour l’écurie Renault F1 Team.
J'espère aussi que en 2006 renault sera champion du monde
Non non au début de la saison renault avait pour objectif d'être 3em !!!
bilan mitigé je dirais :
début de saison impecable rien à dire sauf peut être fernando en retrait de sa capacité et malchance.
fin de saison de merde où RENAULT n'a jamais vu le jour. Par contre fernando nous a confirmé qu'il était un vrai grand pilote.
début de saison impecable rien à dire sauf peut être fernando en retrait de sa capacité et malchance.
fin de saison de merde où RENAULT n'a jamais vu le jour. Par contre fernando nous a confirmé qu'il était un vrai grand pilote.
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AUX ARMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMES!!!
AUX ARMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMES!!!
Oui j'ail lu un article où il était vachement vexé de ne pas avoir été préféré à villeneuve
DoC_jule78 a écrit:
Oui j'ail lu un article où il était vachement vexé de ne pas avoir été préféré à villeneuve
C'est clair : c'etait complétement illogique.
Montany connait forcement + la voiture (pilote essayeur) que Villeneuve (restaurateur ?). Vraiment, j'ai pô compris.
Maintenant, je suis super content pour BAR
Cette équipe n'a pas volé se deuxième place ! BRAVO :amen:
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Laguna (2) 2.0 BVA et C4 Picasso 5p 2.0 Hdi
Laguna (2) 2.0 BVA et C4 Picasso 5p 2.0 Hdi
Des images comme on aimerait en voir plus souvent. Elles illustrent parfaitement l’excellent début de saison, une vraie dynamique de groupe, une équipe soudée, des podiums, une victoire, quelques occasions manqué, Canada et USA.
Et puis on dirait que quelques chose c’est cassé après le GP de France mauvais résultat, mauvaise ambiance, et l ‘équipe qui semblait tout prés des sommets se met à dévaler la pente on cherche un coupables, au lieu de chercher les vraies raisons, et la suite on la connaît départ de Trulli le " héros" de Monaco !
Cette troisième place au championnat a quand même un léger goût amère, même si Briator et Faure en sont satisfait (objectif atteint), je trouve que c’est ce voiler la face, car cette place ne reflète pas la réalité des forces en fin de championnat. La réalité c’est que Renault est cinquième (c’est a dire moins bien qu’en 2003) au niveau perf. Depuis le Gp de France, l’équipe a marqué 26 points, bien moins que BAR 57pt, Williams 51pt, et McLaren 47, a peine plus que Sauber 19pt .
Je suis sur que Montagny aurait apporté les quelques points qui manquent pour conserver la deuxième place !
Et puis on dirait que quelques chose c’est cassé après le GP de France mauvais résultat, mauvaise ambiance, et l ‘équipe qui semblait tout prés des sommets se met à dévaler la pente on cherche un coupables, au lieu de chercher les vraies raisons, et la suite on la connaît départ de Trulli le " héros" de Monaco !
Cette troisième place au championnat a quand même un léger goût amère, même si Briator et Faure en sont satisfait (objectif atteint), je trouve que c’est ce voiler la face, car cette place ne reflète pas la réalité des forces en fin de championnat. La réalité c’est que Renault est cinquième (c’est a dire moins bien qu’en 2003) au niveau perf. Depuis le Gp de France, l’équipe a marqué 26 points, bien moins que BAR 57pt, Williams 51pt, et McLaren 47, a peine plus que Sauber 19pt .
Je suis sur que Montagny aurait apporté les quelques points qui manquent pour conserver la deuxième place !
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« En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis. »
Winston Churchill
« En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis. »
Winston Churchill
Ton analyse est allucinante wroum2 !!! 
En comparant les points rapportés depuis le GP de France on se rend compte de la faiblesse de Renault.
En comparant les points rapportés depuis le GP de France on se rend compte de la faiblesse de Renault.
sur F1-live, y a Pat sydmons qui tente d'expliquer le choix Villeneuve... Il n'est pas très convaincant dans ce rôle.
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AUX ARMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMES!!!
AUX ARMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMES!!!Faure : "Embaucher Jacques était une erreur"
Face à la pression née d’une carence grave en résultat sur la fin du championnat (26 points marqués lors des 6 dernières manches !), Renault se doit de reconnaître ses erreurs afin de les éviter et de calmer une certaine colère qui gronde dans les rangs français.
Patrick Faure a admis que faire appel à Jacques Villeneuve n’avait pas été très heureux. Le Canadien, qui avait pour mission de marquer quelques points pour aider la formation au losange à récupérer sa 2è place au championnat Constructeurs, a certes bien progressé et a bénéficié grandement de cette fin de saison pour préparer la suivante, mais présente un tableau de chasse vierge au soir d’Interlagos.
« Je dois reconnaître que nous avons fait une erreur. Flavio Briatore et moi avons probablement sous-estimé l’impact de 10 mois loin des F1, même pour un champion du monde. Nous pensions qu’avec l’expérience d’un champion du monde et son talent, il pourrait immédiatement se battre pour les points » avoue Patrick Faure à Eurosport. Les deux hommes ont bien été les seuls du monde de la F1 à verser dans cette théorie peu cohérente.
« La F1 a changé, elle est plus rapide, les pilote encaissent des forces G plus élevées. Il avait besoin de besoin de plusieurs mois pour être affûté physiquement et revenir au plus haut niveau » poursuit Faure avant d’avouer qu’une certaine partie du projet Villeneuve/Renault, le volet intéressant l’aspect commercial et non sportif, a été rempli. « Cela a eu beaucoup de répercussions intéressantes en F1, mais d’un point de vue sportif ce ne fut pas un succès. Nous avons clairement fait une erreur. »
Erreur répétée et encouragée puisque Jacques n’a pas été remplacé avant Interlagos, alors que l’écurie franco-anglaise n’avait plus rien à perdre et aucun intérêt de donner une nouvelle chance au Québécois.
Face à la pression née d’une carence grave en résultat sur la fin du championnat (26 points marqués lors des 6 dernières manches !), Renault se doit de reconnaître ses erreurs afin de les éviter et de calmer une certaine colère qui gronde dans les rangs français.
Patrick Faure a admis que faire appel à Jacques Villeneuve n’avait pas été très heureux. Le Canadien, qui avait pour mission de marquer quelques points pour aider la formation au losange à récupérer sa 2è place au championnat Constructeurs, a certes bien progressé et a bénéficié grandement de cette fin de saison pour préparer la suivante, mais présente un tableau de chasse vierge au soir d’Interlagos.
« Je dois reconnaître que nous avons fait une erreur. Flavio Briatore et moi avons probablement sous-estimé l’impact de 10 mois loin des F1, même pour un champion du monde. Nous pensions qu’avec l’expérience d’un champion du monde et son talent, il pourrait immédiatement se battre pour les points » avoue Patrick Faure à Eurosport. Les deux hommes ont bien été les seuls du monde de la F1 à verser dans cette théorie peu cohérente.
« La F1 a changé, elle est plus rapide, les pilote encaissent des forces G plus élevées. Il avait besoin de besoin de plusieurs mois pour être affûté physiquement et revenir au plus haut niveau » poursuit Faure avant d’avouer qu’une certaine partie du projet Villeneuve/Renault, le volet intéressant l’aspect commercial et non sportif, a été rempli. « Cela a eu beaucoup de répercussions intéressantes en F1, mais d’un point de vue sportif ce ne fut pas un succès. Nous avons clairement fait une erreur. »
Erreur répétée et encouragée puisque Jacques n’a pas été remplacé avant Interlagos, alors que l’écurie franco-anglaise n’avait plus rien à perdre et aucun intérêt de donner une nouvelle chance au Québécois.
Voilà qui met les choses au clair
koleos a écrit:
Pas d'accord.
c déjà çà qu'ils le reconnaissent 
Je trouve ça lamentable, alors bien sur on va dire reconnaître ces erreurs c’est bien ! Mai au bout de trois courses c’est lamentable pour des dirigeants de ce niveau, comment peut ont encore leurs faire confiance ? Comment les hommes qu’ils dirigent peuvent leur faire confiance ! Trulli, lui a fait une erreur, une inattention d’une fraction de secondes qui a coûté deux points à l’équipe il l’a payé chère ; eux se contentent de reconnaître que c’était une erreur tout en se disculpant parce que commercialement c’était une bonne décision, ça c’est eux qui le disent, c’est invérifiable et je suis loin d’être sur que l’image de Renault ressorte grandit par une t’elle affaire !
Et puis tout le monde savait que c’était une erreur dés le début ou au moins avaient des doutes
Des spécialistes comme Prost au néophyte comme Wroum Wroum
Citation:
MessagePosté le: Mer 15 Sep, 2004 20:10:13
Villeneuve est certainement un bon pilote même s'il n' a pas démontré grand chose pendant sa carrière en F1( son titre de champions du monde il l’a obtenus sur une voiture qui n' avait pas de concurrence tant la Williams Renault était supérieur aux autres) Mais même un bon pilote s'il n'a pas conduit une F1 depuis longtemps ne peut pas être au top du jour au lendemain, qui plus est sur une voiture qu'il ne connaît pas, je pense que si Renault veut avoir une chance de reprendre la seconde place, c' est avec Montagny il n'y pas d'autre choix tant morale que pragmatique! Villeneuve a déjà un volant pour l’année prochaine pour lui il n’y a aucun enjeu pour les trois courses qui viennent et peu les considérer comme des séance d’entraînement Montagny lui si on lui donne sa chance, n’a pas d’autre choix que d’être très bon ! Wroum Wroum
Villeneuve est certainement un bon pilote même s'il n' a pas démontré grand chose pendant sa carrière en F1( son titre de champions du monde il l’a obtenus sur une voiture qui n' avait pas de concurrence tant la Williams Renault était supérieur aux autres) Mais même un bon pilote s'il n'a pas conduit une F1 depuis longtemps ne peut pas être au top du jour au lendemain, qui plus est sur une voiture qu'il ne connaît pas, je pense que si Renault veut avoir une chance de reprendre la seconde place, c' est avec Montagny il n'y pas d'autre choix tant morale que pragmatique! Villeneuve a déjà un volant pour l’année prochaine pour lui il n’y a aucun enjeu pour les trois courses qui viennent et peu les considérer comme des séance d’entraînement Montagny lui si on lui donne sa chance, n’a pas d’autre choix que d’être très bon ! Wroum Wroum
Pire c’était une erreur doublée d’une injustice, Injustice envers Trulli, et envers Montagny don les deux dirigeants en question louaient son travaille pour l’équipe !
Des hommes d’honneurs des grands patrons auraient la décence de présenter leur démissions. Eux ils font de l’auto satisfaction (Objectif atteint ) sa me dégoûte si c’est ça la F1 je vais plus supporter, et si un jour Renault est champions ça sera pas grâce a eux mais je leur fais confiance (surtout Briator) pour venir pavoiser devant les caméras.
Vivement que Carlos fasse le ménage !
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« En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis. »
Winston Churchill
« En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis. »
Winston Churchill
oui tu as entièrement raison,
une excuse ce n'est pas suffisant !
mais ils auraient pu continuer à jouer sur la carte de l'autosatisfaction
mais comme tous les supporters du f1 team n'étaient pas vraiment d'accord avec ce choix
ils ont surement du s'expliquer sur leur choix
une excuse ce n'est pas suffisant !
mais ils auraient pu continuer à jouer sur la carte de l'autosatisfaction
mais comme tous les supporters du f1 team n'étaient pas vraiment d'accord avec ce choix
ils ont surement du s'expliquer sur leur choix
wroum wroum a écrit:
+1 Des hommes d’honneurs des grands patrons auraient la décence de présenter leur démissions. Eux ils font de l’auto satisfaction (Objectif atteint ) sa me dégoûte
psa arrete les rallyes en 2006 , pas bon ça , j'espére que ça va pas donner des idées à renault d'arréter la F1 , officiellement c'est pour des raisons budgétaires.
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ex vs et toy corolla verso D4D 7 pl 10/04 :10900kms et madame yaris D4D avec distri par chaine ..eh oui ..et pour les we : boxster S
ex vs et toy corolla verso D4D 7 pl 10/04 :10900kms et madame yaris D4D avec distri par chaine ..eh oui ..et pour les we : boxster S
J'étais pas au courant !
Alors autant dire que la WRC s'arrete bientot, parce que les autres équipes avaient déjà li'ntention d'arreter!
Mais Carlos a garanti à l'équipe de Renault F1 que leur activité allait continuer dans le long terme, alors jsui confiant
Alors autant dire que la WRC s'arrete bientot, parce que les autres équipes avaient déjà li'ntention d'arreter!
Mais Carlos a garanti à l'équipe de Renault F1 que leur activité allait continuer dans le long terme, alors jsui confiant
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Clio II ph2, 1.5 dCi 80cv privilège noir nacré
Clio II ph2, 1.5 dCi 80cv privilège noir nacré
J'ai vu ça pour PSA.
Heureusement que c po renault qui s'arrête !!!
Heureusement que c po renault qui s'arrête !!!
Mouis... on verra si Goshn juge bon de le garder 
Le directeur technique châssis du Renault F1 Team revient sur une saison disputée, qui a permis à l’équipe de remplir sa mission et de préparer l’avenir.
Q: Bob, vous souvenez-vous de vos premières impressions lorsque la R24 a bouclé ses premiers tours de roues, en janvier dernier?
Bob Bell: Comme toujours, nous avions prévu une amélioration des performances par rapport à l’année précédente. C’est toujours l’objectif à se fixer : parvenir à dessiner une monoplace plus légère et plus rigide, distribuer les masses de manière plus optimale… Nous avons confirmé sur la piste. Il s’agissait d’un pas en avant très sensible et nos pilotes l’ont immédiatement noté. Les qualités de la R24 étaient son aérodynamique, sa traction, son utilisation des pneumatiques. Son moteur s’est aussi montré très vaillant et n’oublions pas qu’il s’agissait d’une nouvelle architecture. Enfin, nous étions peut-être la meilleure équipe en ce qui concerne l’utilisation des systèmes électroniques.
Q: Aucune mauvaise surprise avec cette monoplace?
BB: Nous ne nous attendions pas à ce que la voiture soit plus difficile à conduire, je dois l’avouer, car aucun changement susceptible d’influer sur ce domaine n’avait été décidé lors de la conception de la voiture. Selon nos pilotes, la R24 était moins prévisible que sa devancière à la limite, et un peu plus nerveuse dans les virages rapides. Nous avons alors immédiatement engagé les modifications nécessaires pour corriger le tir. Nous avons tenté de délimiter le problème, de le comprendre, et d’y remédier.
Q: Y êtes-vous parvenus?
BB: Dans une certaine mesure, oui. Nous avons travaillé dur et avons réalisé des progrès sensibles. Cependant, éradiquer complètement ce défaut aurait demandé la modification d’éléments fondamentaux de la voiture, comme la monocoque, et nous avons choisi de ne pas opter pour cette solution.
Q: Pourquoi?
BB: D’abord, les changements à venir en 2005 ont demandé d’immobiliser très tôt des ressources matérielles et humaines conséquentes. Puis, il ne faut pas oublier que les performances de la R24 nous permettaient de lutter avec les meilleurs sans modification de structure.
Q: Sachant que les monoplaces de la saison prochaine seront très différentes, a-t-il été délicat de travailler sur le développement R24 et la conception R25 en même temps?
BB: En fait nous avons mené trois études de front. Nous avons respecté le programme de développement classique de la R24, nous avons travaillé sur la rectification de sa nervosité à grande vitesse… et commencé à dessiner la voiture 2005 dès juillet dernier. Vous savez, il n’y a pas de miracle en F1. Tout est question de rigueur, d’organisation, d’affectation de ressources et de planification. En ce sens, je ne pense pas qu’Enstone ait souffert de ce triple programme.
La R24 sacrifiée en faveur de la R25?
Q: Avez-vous extrait toute la performance possible de la R24?
BB: Nous aurions peut-être pu en gagner davantage en levant le pied sur le programme 2005, mais cela n’aurait pas été le bon choix.
Q: Côté fiabilité, êtes-vous également satisfait des prestations de la voiture?
BB: Oui. Nous avons enregistré trois abandons sur problème châssis: deux au Canada et un à Silverstone. Mis à part ces incidents, la voiture s’est montrée fiable dès le premier jour.
Q: Pouvez-vous déjà parler de la saison prochaine?
BB: Les pertes aérodynamiques provoquées par le nouveau règlement sont très sensibles et nous travaillons très dur en soufflerie. Nous savons déjà que notre prochaine voiture sera bonne. Elle disposera d’un nouveau système électronique, et d’un moteur très sensiblement modifié. Du côté mécanique, l’équipe de Tim Densham, designer en chef, travaille sur la fiabilité, la facilité d’utilisation.
Q: Etes-vous favorable à la diminution des performances?
BB: Oui. Je pense que nous avions atteint une situation qui, si on n’y avait pris garde, aurait pu devenir problématique. Les vitesses atteintes cette année étaient incroyables et nous devions réagir, sans quoi la F1 serait devenue beaucoup plus dangereuse.
Q: Pensez-vous que la Formule Un, aujourd’hui, soit avant tout affaire de bureaux d’études, de simulation, de pneumatiques et de datas?
BB: Non. Et c’est la raison pour laquelle j’adore mon métier. Une monoplace n’est qu’un outil, qu’il faut ensuite savoir exploiter. En ce sens, c’est encore l’humain qui fait la différence dans ce sport. La victoire n’est pas fonction d’un temps au tour optimal, mais d’un travail d’équipe : stratégie, exécution des ravitaillements, choix des pneumatiques, gestion d’un week-end entier, pilotage… Malgré la débauche de technologie qui frappe la F1, c’est un groupe de personnes uni par la passion de la course qui décroche le résultat final. Plutôt rassurant, non?
D'après Renault F1 Team
Q: Bob, vous souvenez-vous de vos premières impressions lorsque la R24 a bouclé ses premiers tours de roues, en janvier dernier?
Bob Bell: Comme toujours, nous avions prévu une amélioration des performances par rapport à l’année précédente. C’est toujours l’objectif à se fixer : parvenir à dessiner une monoplace plus légère et plus rigide, distribuer les masses de manière plus optimale… Nous avons confirmé sur la piste. Il s’agissait d’un pas en avant très sensible et nos pilotes l’ont immédiatement noté. Les qualités de la R24 étaient son aérodynamique, sa traction, son utilisation des pneumatiques. Son moteur s’est aussi montré très vaillant et n’oublions pas qu’il s’agissait d’une nouvelle architecture. Enfin, nous étions peut-être la meilleure équipe en ce qui concerne l’utilisation des systèmes électroniques.
Q: Aucune mauvaise surprise avec cette monoplace?
BB: Nous ne nous attendions pas à ce que la voiture soit plus difficile à conduire, je dois l’avouer, car aucun changement susceptible d’influer sur ce domaine n’avait été décidé lors de la conception de la voiture. Selon nos pilotes, la R24 était moins prévisible que sa devancière à la limite, et un peu plus nerveuse dans les virages rapides. Nous avons alors immédiatement engagé les modifications nécessaires pour corriger le tir. Nous avons tenté de délimiter le problème, de le comprendre, et d’y remédier.
Q: Y êtes-vous parvenus?
BB: Dans une certaine mesure, oui. Nous avons travaillé dur et avons réalisé des progrès sensibles. Cependant, éradiquer complètement ce défaut aurait demandé la modification d’éléments fondamentaux de la voiture, comme la monocoque, et nous avons choisi de ne pas opter pour cette solution.
Q: Pourquoi?
BB: D’abord, les changements à venir en 2005 ont demandé d’immobiliser très tôt des ressources matérielles et humaines conséquentes. Puis, il ne faut pas oublier que les performances de la R24 nous permettaient de lutter avec les meilleurs sans modification de structure.
Q: Sachant que les monoplaces de la saison prochaine seront très différentes, a-t-il été délicat de travailler sur le développement R24 et la conception R25 en même temps?
BB: En fait nous avons mené trois études de front. Nous avons respecté le programme de développement classique de la R24, nous avons travaillé sur la rectification de sa nervosité à grande vitesse… et commencé à dessiner la voiture 2005 dès juillet dernier. Vous savez, il n’y a pas de miracle en F1. Tout est question de rigueur, d’organisation, d’affectation de ressources et de planification. En ce sens, je ne pense pas qu’Enstone ait souffert de ce triple programme.
La R24 sacrifiée en faveur de la R25?
Q: Avez-vous extrait toute la performance possible de la R24?
BB: Nous aurions peut-être pu en gagner davantage en levant le pied sur le programme 2005, mais cela n’aurait pas été le bon choix.
Q: Côté fiabilité, êtes-vous également satisfait des prestations de la voiture?
BB: Oui. Nous avons enregistré trois abandons sur problème châssis: deux au Canada et un à Silverstone. Mis à part ces incidents, la voiture s’est montrée fiable dès le premier jour.
Q: Pouvez-vous déjà parler de la saison prochaine?
BB: Les pertes aérodynamiques provoquées par le nouveau règlement sont très sensibles et nous travaillons très dur en soufflerie. Nous savons déjà que notre prochaine voiture sera bonne. Elle disposera d’un nouveau système électronique, et d’un moteur très sensiblement modifié. Du côté mécanique, l’équipe de Tim Densham, designer en chef, travaille sur la fiabilité, la facilité d’utilisation.
Q: Etes-vous favorable à la diminution des performances?
BB: Oui. Je pense que nous avions atteint une situation qui, si on n’y avait pris garde, aurait pu devenir problématique. Les vitesses atteintes cette année étaient incroyables et nous devions réagir, sans quoi la F1 serait devenue beaucoup plus dangereuse.
Q: Pensez-vous que la Formule Un, aujourd’hui, soit avant tout affaire de bureaux d’études, de simulation, de pneumatiques et de datas?
BB: Non. Et c’est la raison pour laquelle j’adore mon métier. Une monoplace n’est qu’un outil, qu’il faut ensuite savoir exploiter. En ce sens, c’est encore l’humain qui fait la différence dans ce sport. La victoire n’est pas fonction d’un temps au tour optimal, mais d’un travail d’équipe : stratégie, exécution des ravitaillements, choix des pneumatiques, gestion d’un week-end entier, pilotage… Malgré la débauche de technologie qui frappe la F1, c’est un groupe de personnes uni par la passion de la course qui décroche le résultat final. Plutôt rassurant, non?
D'après Renault F1 Team
Nouveau système électronique... :?
Peut-être le truc miracle pour battre Ferrari !!!
Peut-être le truc miracle pour battre Ferrari !!!
Déjà que le système electronique de départ était surpuissant, alors là, à chaque départ les Renault vont gagner au moins 6 places si elles se sont pas bien qualifiées !
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Clio II ph2, 1.5 dCi 80cv privilège noir nacré
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