Michael Schumacher
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Michael Schumacher lors du Grand Prix automobile des États-Unis 2004.Michael Schumacher (né le 3 janvier 1969 à Hürth-Hermülheim, près de Cologne, Allemagne - ), affectueusement surnommé « Schumi » par ses nombreux fans ou le « baron rouge » par les journalistes, en référence à l'as de l'aviation allemande pendant la première Guerre mondiale Manfred von Richthofen, est un pilote allemand de sport automobile, sept fois champion du monde de Formule 1. Il vit en Suisse.
Il a débuté en 1991, en remplaçant au pied levé dans l'écurie Jordan Bertrand Gachot, incarcéré en Grande-Bretagne, pour le Grand Prix de Belgique à Spa-Francorchamps. Dès le Grand Prix suivant, il pilote pour l'écurie Benetton. Depuis 1996, il pilote pour la prestigieuse écurie italienne Ferrari, qu'il a contribué à relancer après une longue période d'insuccès. Il détient la plupart des records de la Formule 1 à l'exception des records de précocité et du record de nombre de Grands Prix disputés[1]. Il dispute la saison 2006 chez Ferrari aux côtés du jeune pilote brésilien Felipe Massa.
Son frère Ralf, de six ans son cadet, également pilote de Formule 1, est donc son adversaire en course.
À l'issue du Grand Prix d'Italie 2006, au cours duquel il a remporté la 90e victoire de sa carrière, Michael Schumacher, très ému, annonce qu'il prendra sa retraite à l'issue de la saison 2006. Après seize saisons et un palmarès exceptionnel, Michael Schumacher se retire au terme du Grand Prix du Brésil, qu'il termine à la 4e place après une remontée exceptionnelle à la suite d'une crevaison en début de course. Il n'aura pas réussi son pari de remporter un huitième titre de champion du monde et laissera son volant au Finlandais Kimi Räikkönen, qui le remplacera en 2007 au sein de la Scuderia Ferrari.
Biographie
L'ascension vers la F1
Son père gérant une piste de karting à Kerpen, lieu de résidence de la famille Schumacher, Michael Schumacher est initié dès son plus jeune âge aux sports mécaniques. Il débute la compétition dès 1984, à l'âge de quinze ans. Très vite, les succès arrivent : il devient champion d'Europe de Karting en 1987, puis passe en Formule Ford et remporte le titre national en 1988. L'année suivante, il passe en Formule 3. En 1990, pour sa deuxième année, il remporte le titre de champion d'Allemagne et s'impose également en fin de saison dans le prestigieux Grand Prix de Macao F3 après avoir provoqué un accrochage avec le Finlandais Mika Häkkinen. Cette même année 1990, Michael est incorporé au programme Mercedes Junior Team dans le championnat du monde des voitures de sport. Avec ses camarades de promotion que sont Heinz-Harald Frentzen, Karl Wendlinger et Fritz Kreutzpointer, il côtoie chez Sauber-Mercedes des pilotes d'expérience tels que Jean-Louis Schlesser, Mauro Baldi et Jochen Mass. Toujours en 1991, il participe aux 24 heures du Mans pour la seule et unique fois de sa carrière à ce jour. Il s'y fera remarquer en occupant un temps la deuxième place au général et en repartant avec le meilleur tour en course. Il devra malheureusement abandonner.
Des débuts prometteurs en F1 (1991-1993)
En 1991, Mercedes cherche à placer ses jeunes protégés en Formule 1, et en priorité Michael Schumacher. Une opportunité se présente quelques jours avant le GP de Belgique lorsque le pilote franco-belge Bertrand Gachot de l'écurie Jordan est retenu par la justice britannique suite à une altercation avec un chauffeur de taxi londonien. Dès sa prise de contact avec la Jordan, Schumacher impressionne ses ingénieurs. Impression confirmée lors des essais du GP de Belgique disputé sur le sélectif tracé de Spa-Francorchamps, que Schumacher découvre. Qualifié sur la septième place de la grille (devant son expérimenté équipier Andrea de Cesaris), Schumacher n'a pourtant pas l'occasion de se mettre en évidence en course, son embrayage rendant l'âme au bout de quelques hectomètres. Dans les jours qui suivent, Schumacher défraie la chronique en étant au centre d'un bras de fer juridique entre les équipes Jordan et Benetton pour son engagement. Dès le GP suivant en Italie, Schumacher se retrouve sous les couleurs de Benetton-Ford, où il confirme le potentiel entrevu lors de son premier GP. Après De Cesaris, c'est cette fois le triple champion du monde Nelson Piquet, il est vrai démotivé et proche de la retraite, qui fait les frais de la tornade Schumacher.
Dès sa première saison complète en Formule 1 en 1992, Schumacher s'affirme comme l'une des valeurs sûres du peloton. Troisième du championnat du monde (derrière les intouchables pilotes Williams-Renault Nigel Mansell et Ricardo Patrese, mais devant Ayrton Senna), il remporte sa première victoire en F1 à l'occasion du GP de Belgique, tout juste un an après ses débuts. Confirmation en 1993, avec une deuxième victoire en GP (au Portugal) et la quatrième place au championnat.
Premiers titres avec Benetton (1994-1995)
Début 1994, en égard à ses impressionnantes prestations lors des essais hivernaux, Schumacher est présenté comme le principal outsider d'Ayrton Senna au championnat. Le duel tant attendu entre les deux meilleurs pilotes du monde va pourtant tourner court, puisque après les deux premières manches de l'année remportées par Schumacher (grâce à une meilleur gestion des arrêts au stand au Brésil, et à l'accrochage entre Hakkinen et Senna au Japon), Senna trouve la mort alors qu'il menait la course à Imola, lieu de la troisième épreuve de la saison. Face à une opposition clairsemée, Schumacher a alors le champ libre pour filer vers sa première couronne mondiale. C'est sans compter sur les ennuis de Schumacher et de Benetton avec le pouvoir sportif. À Silverstone, Schumacher est déclassé (il avait terminé 2e) pour ne pas avoir obtempéré à une pénalité consécutive à une manœuvre illégale (dépassement) lors du tour de formation. Cela lui vaudra une suspension de 2 Grand-Prix pour non-respect du drapeau noir. Puis, en Belgique, il est disqualifié (il avait terminé 1er), les commissaires ayant constaté une usure excessive de la planche de bois située sous la voiture.
Ces différents avatars permettent à l'inattendu Damon Hill, qui endosse avec courage le rôle de pilote Williams numéro 1 depuis la disparition de Senna, de revenir dans la lutte pour le titre. Schumacher doit ainsi attendre l'ultime course de l'année en Australie pour décrocher le titre mondial, titre qui se jouera sur un accrochage avec Damon Hill. Ce dernier était sur le point de le dépasser et de lui prendre le titre mondial puisque l'Allemand venait de partir à la faute et de heurter un muret de béton. Mais malgré ce final chaotique, Schumacher est avec 8 succès (Brésil, Pacifique, St-Marin, Monaco, Canada, France, Hongrie et Europe) en 14 courses, l'incontestable pilote de l'année.
En 1995, avec sa Benetton désormais équipée de l'irrésistible moteur V10 Renault, Schumacher réédite sa domination sur la Formule 1, avec neuf succès (Brésil, Espagne, Monaco, France, Allemagne, Belgique, Europe, Pacifique et Japon) et un deuxième titre mondial, malgré un début de saison un peu chaotique.
Un pari osé chez Ferrari (1996-1999)
Michael Schumacher au volant de la Ferrari 248 F1
lors du Grand Prix de Monaco 2006L'année 1996 est l'année du changement. Il abandonne l'écurie Benetton avec laquelle il vient de conquérir deux titres mondiaux, et arrive avec son N°1 dans la mythique Scuderia Ferrari, une équipe en pleine reconstruction sous l'impulsion du Français Jean Todt. Pari osé, quiu mettra quelque temps avant de s'avérer gagnant. Malgré une voiture peu efficace, il parvient à atteindre la troisième place du championnat des pilotes, en remportant trois GP (une première pour Ferrari depuis la saison 1990). Il gagne ainsi en Espagne sous une pluie battante, au terme d'une domination rappelant les démonstrations des plus grands pilotes de l'histoire, mais aussi en Belgique et surtout en Italie, devant des milliers de tifosi en délire. Ces derniers ont trouvé leur nouvelle idole, et commencent à entrevoir des jours meilleurs pour la Scuderia après les années noires qu'elle vient de traverser.
En 1997, tandis que les progrès de Ferrari se confirment, Schumacher décroche cinq victoires (Monaco, Canada, France, Belgique et Japon) et aborde l'ultime course de la saison avec un point d'avance sur le Canadien Jacques Villeneuve. Surpris par une attaque du Québécois, Schumacher donne un coup de volant en direction de son rival et provoque un accrochage. Las, ce geste n'a d'autre effet que de provoquer son propre abandon, ainsi qu'une immense polémique sur le comportement anti-sportif du pilote allemand. Villeneuve est sacré et Schumacher est déclassé du championnat, pour conduite anti-sportive. Il se verra aussi imposer par la FIA de participer à des actions pour la sécurité routière. Schumacher conservera cependant tous ses points et ses victoires acquis lors de cette saison 1997.
En 1998, toujours sur Ferrari, il gagne six Grands Prix (Argentine, Canada, France, Grande Bretagne, Hongrie et Italie) mais est à nouveau battu au championnat dans l'ultime course de la saison, cette fois par Mika Hakkinen, sur McLaren-Mercedes. En 1999, le duel Hakkinen-Schumacher se poursuit, mais est interrompu par la blessure de Schumacher, victime d'une fracture de la jambe au GP de Grande-Bretagne suite à une violente sortie due à une rupture mécanique dans le virage de Stowe. Il revient en fin de saison pour essayer, sans succès, de faire gagner le titre pilote à son coéquipier Eddie Irvine. Malgré une étonnante démonstration de force en Malaisie où il offre la victoire à Irvine, il est impuissant au Japon pour contrer Hakkinen. Avec deux victoires dans la saison (St-Marin et Monaco), il termine 5e du classement pilote, et contribue au titre de champion constructeur de la Scuderia Ferrari (le premier depuis 1983).
Consécration : un règne sans partage (2000-2004)
L'année 2000 est celle de la consécration pour le tandem Schumacher-Ferrari. Après un début de saison impérial favorisé par les problèmes de fiabilité rencontré par les McLaren (il remporte les 4 premiers GP en Australie, Brésil, St-Marin, Europe, puis s'impose au Canada) et malgré un passage à vide durant l'été (3 abandons consécutifs notemment) qui permet à Hakkinen de refaire une grande partie de son retard, et même de prendre l'avantage au championnat du monde après le Grand Prix de Hongrie, il est titré après une fin de saison dominatrice puisqu'il gagne les 4 derniers grand prix de la saison (Italie, États-Unis, Japon, Malaisie). Michael Schumacher devient le premier pilote depuis Jody Scheckter en 1979 à être titré sur Ferrari. Ce succès est le premier d'une longue série pour l'Allemand.
En 2001, il décroche son quatrième titre après avoir remporté 9 GP (Australie, Malaisie, Espagne, Monaco, Europe, France, Hongrie, Belgique et Japon). Le scénario se répète en 2002 avec 11 victoires, et un titre acquis dès le GP de France disputé au mois de juillet ! Jamais dans l'histoire un pilote n'avait été sacré aussi tôt dans la saison. Cette saison quasi-parfaite est cependant entachée par le GP d'Autriche, durant lequel Barichello, dominateur durant tout le week-end, est obligé de céder la tête de la course à son coéquipier à quelques encablures de l'arrivée. En 2003, face à une opposition souvent mieux armée (au cœur de l'été, les Michelin de ses adversaires dominent les Bridgestone de Ferrari), il ne gagne que 6 GP, et doit attendre le dernier GP de la saison pour décrocher son sixième titre, le Finlandais Kimi Raikkonen étant resté menaçant jusqu'au bout. Le titre s'est joué au GP des USA, où Schumi remporta une superbe victoire, sous la pluie, partit de la 7° place sur la grille. Ce titre aura un goût triste pour Michael qui, lors du Grand Prix de Saint-Marin, perdra sa mère, Elisabeth, décédée d'une hémorragie. Ce jour-là, il remporta une belle victoire pour sa mère, son frère Ralf terminera quatrième.
Mais en 2004, Schumacher et la Scuderia reprennent leur domination sur la F1, pour une saison de tous les records. Schumacher s'impose à 13 reprises et est sacré champion du monde pour la septième fois.
Une année difficile (2005) avant le retour à la compétitivité (2006)
Michael Schumacher lors d'une séance d'essais du Grand Prix des États-Unis 2005.L'année 2005 se révèle être une année bien difficile pour Schumacher et la Scuderia Ferrari : Au volant d'une voiture équipée de pneus Bridgestone bien peu performants, il ne remporte qu'un seul Grand Prix, celui des États-Unis à Indianapolis, déserté par les pilotes équipés de pneus Michelin (leur pneus ne permettant pas de concourir dans des conditions de sécurité suffisante). Il termine la saison à la troisième place du championnat pilote.
En 2006, sa voiture est plus performante, et le 22 avril 2006, en réalisant le meilleur temps des essais qualificatifs du Grand Prix de Saint-Marin, Michael Schumacher égale le record du nombre de « pole positions » (65), détenu jusque là par le Brésilien Ayrton Senna. Il lui aura fallu 238 GP contre seulement 161 au pilote brésilien pour réaliser cette performance. Cette saison, la lutte pour le titre est acharnée avec le jeune champion du monde espagnol Fernando Alonso. Le 10 septembre 2006, il annonce sa retraite pour la fin de la saison, après avoir remporté le Grand Prix d'Italie à Monza.
Bien qu'il ait pris la tête du championnat à l'issue du Grand Prix de Chine, alors qu'il ne restait que deux courses à disputer, son abandon lors du Grand Prix du Japon en raison de l'explosion de son moteur et une crevaison dès le début de l'épreuve lors du Grand Prix du Brésil auront eu raison de ses ambitions. Il se retire sur une 4e place finale, après avoir une nouvelle fois fait la preuve de son immense talent au cours d'une folle remontée depuis la 19e place.
Son avenir
Michael Schumacher prenant sa retraite, son avenir est très attendu. Il resterait en 2007 pour travailler avec Ferrari, sa fonction exacte au sein de la Scuderia sera définie à la fin de la saison 2006. Il profitera plus de sa famille et de ses amis, mais la collaboration avec Ferrari ne s'arrêtera pas là. En tout cas, il a déjà obtenu 20 millions d'euros grâce à un contrat publicitaire.
Bilan d'une carrière exceptionnelle
Il est toujours difficile de comparer des pilotes qui n'ont pas couru à la même époque, et il serait vain de dire que tel ou tel est le meilleur pilote de tous les temps. Tout au plus peut-on tenter de faire quelques comparaisons chiffrées. Michael Schumacher, au soir de son dernier Grand Prix, détient la plupart des records de la Formule 1 et restera pour longtemps la référence de la discipline :
Nombre de titres de champion du monde : 7 titres — (2e Juan Manuel Fangio, 5 titres)
Nombre de victoires : 91 victoires — (2e, Alain Prost, 51 victoires)
Nombre de victoires consécutives : 7 victoires consécutives (de Europe 2004 à Hongrie 2004) — (1er ex-aequo Alberto Ascari : 7 victoires consécutives (de Belgique 1952 à Argentine 1953)
Nombre de victoires depuis la pole position : 40 victoires — (2e, Ayrton Senna, 29 victoires)
Nombre de victoires dans une année : 13 victoires/18 (soit 72,22%) en 2004 — (2e Michael Schumacher 11 victoires/17 (soit 64,71%) en 2002 — 3e Nigel Mansell 9 victoires/16 (soit 56,25%) en 1992)
Nombre de deuxièmes places : 43 deuxièmes places — (2e Alain Prost, 35 deuxièmes places)
Nombre de pole positions : 68 pole positions — (2e, Ayrton Senna, 65 pole positions)
Nombre de départs en première ligne : 115 départs en première ligne — (2e, Ayrton Senna, 87 départs en première ligne)
Nombre de podiums : 154 podiums — (2e Alain Prost, 106 podiums)
Nombre de podiums consécutifs : 19 podiums consécutifs — (2e Fernando Alonso, 15 podiums consécutifs)
Nombre de meilleurs tours en course : 76 meilleurs tours — (2e Alain Prost, 41 meilleurs tours)
Nombre de meilleurs tours dans une année : 10/18, soit 55,56% en 2004 — (1er ex-aequo Kimi Räikkönen 10/19 soit 52,63% en 2005)
Nombre de points marqués : 1369 points — (2e Alain Prost, 798,5 points)
Nombre de GP dans les points : 190 GP dans les points — (2e Alain Prost, 128 GP dans les points)
Nombre de GP consécutifs dans les points : 24 (de Hongrie 2001 à Malaisie 2003) — (2e ex-aequo Michael Schumacher 18 de Saint-Marin 2003 à Espagne 2004 et Fernando Alonso 18 de Turquie 2005 à Allemagne 2006)
Nombre de hat tricks : 22 hat tricks — (2e Jim Clark, 11 hat tricks)
Nombre de GP en ayant mené : 141 GP — (2e Ayrton Senna, 86 GP)
Nombre de tours en tête : 5 096 tours en tête — (2e Ayrton Senna, 2 931 tours en tête)
Nombre de km en tête : 24 070 km en tête — (2e Ayrton Senna, 13 430 km en tête)
Nombre de km en tête dans une année : 3357/5574 km en tête en 2004, soit 61,32% — (2e Nigel Mansell 3293/4849 km en tête en 1992, soit 67,91%)
Statistiques en Formule 1
Michael Schumacher en 2004.(Après le Grand Prix du Brésil 2006)
Grands Prix disputés : 250
Victoires : 91 (soit 36,40%)
Points marqués : 1369 (soit 5,48 points par course disputée)
Poles Positions : 68 (soit 27,20 %)
Départs 1ère ligne : 115 (soit 46,00 %)
Deuxièmes places en Grand Prix : 43 (soit 17,20 %)
Troisièmes places en Grand Prix : 20 (soit 8,00 %)
Podiums : 154 (soit 61,60 %)
Dans les Points : 190 (soit 76,00 %)
Meilleurs Tours: 76 (soit 30,40 %)
Nbre courses en ayant mené : 141 (soit 56,40 %)
Tours en tête : 5 096 (soit 36,64 % des tours parcourus)
Kms en tête : 24 070 (soit 36,64 % des Kms parcourus)
Tours parcourus : 13 909
Kms parcourus : 65 697
Hat tricks (Victoire/Pole position/Meilleur tour) : 22 (soit 8,80 %)
Abandons : 54 (soit 21,60 %)
Débuts en F1 : 1991 — Grand Prix de Belgique, sur le circuit de Spa-Francorchamps, le 25 août 1991 (Résultat : Abandon au départ - Embrayage)
Première victoire : 1992 — Grand Prix de Belgique, sur le circuit de Spa-Francorchamps, le 30 août 1992
Première pole position : 1994 — Grand Prix de Monaco, sur le circuit de Monaco, le 15 mai 1994
Dernière course : 2006 — Grand Prix du Brésil, sur le circuit d'Interlagos, le 22 octobre 2006 (Résultat : 4e)
Position au championnat 2006 : 2e — 121 points — (après 18 courses)
Année Nb de Courses Écurie Points Poles Victoires Podiums Records du tour Abandons Classement
1991 6 Jordan-Benetton 4 0 0 0 0 3 12e
1992 16 Benetton 53 0 1 8 2 4 3e
1993 16 Benetton 52 0 1 9 5 7 4e
1994 14 Benetton 92 6 8 10 9 2 1er
1995 17 Benetton 102 4 9 11 8 5 1er
1996 16 Ferrari 59 4 3 8 2 7 3e
1997 17 Ferrari 78 3 5 8 3 4 2e puis déclassé
1998 16 Ferrari 86 3 6 11 6 3 2e
1999 10 Ferrari 44 3 2 6 5 2 5e
2000 17 Ferrari 108 9 9 12 1 4 1er
2001 17 Ferrari 123 11 9 14 3 2 1er
2002 17 Ferrari 144 7 11 17 7 0 1er
2003 16 Ferrari 93 5 6 8 5 1 1er
2004 18 Ferrari 148 8 13 15 10 1 1er
2005 19 Ferrari 62 1 1 5 3 6 3e
2006 18 Ferrari 121 4 7 13 7 3 2e
TOTAL 250 1239 68 91 154 76 54 7 CM 1994-2004
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BMW 320i e36 1991 322000 km
Grand Espace 2.2 dci 130 Expression 2000 , 133000km