Sûr qu'on ne fera pas du neuf avec du vieux !
Tu as raison chichi1er là n'est pas la question.
Mais le principe est intelligent.
L'ajout d'antifrictions est la technique employée depuis des dizaines d'années pour réduire la détérioration des surfaces métalliques en contact mobile.
Un des meilleurs exemples est le régule des coussinets de vilebrequins.
Dans le cas précis, il s'agit de déposer un antifriction en suspension colloïdale dans l'huile, comme ANTAR le préconisait il y a vingt ans avec le graphite et le bisulfure de molybdène, excellents lubrifiants solides.
Le principe général est d'introduire un ou plusieurs métaux qui s'adaptent aux déformations dues aux défauts d'alignement, absorbent les particules étrangères transportées par l'huile par incrustation,
favorisent la formation immédiate du film d'huile pour limiter au maximum l'usure par frottements due au contact métal sur métal.
Ces métaux sont à base d'étain (autour de 70%), antimoine, cuivre et plomb, avec desalliages à haute teneur en étain sans plomb, et qq additifs (Ag, Ni...).
Avant d'utiliser ce genre d'additif, il faut savoir s'il est compatible avec l'huile moteur (dont certaines en contiennent déjà !) et si les particules utilisées pour le dépôt sont suffisamment atomisées pour ne pas finir par boucher les gicleurs du circuit de lubrification.