Ben de ceux qui sont arrivés au pouvoir juste après la Libération, un groupement explosif de communistes résistant et de Gaulliste qui se sont retrouvés sur un point, punir, tondre, etc... à l'aveuglette.
Comme Renault pendant la guerre a continué à produire des véhicules (obligé, mais aussi parce que Louis Renault ne voulait pas voir son Usine à l'abandon, mais aussi pour la plupart trafiqués), à la fin tout le monde à dit qu'il était collabo, alors pardi, c'est une bonne affaire ! On zigouille le patron, et on récupère le constructeur automobile français en meilleur état gratos.