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Crise : Renault propose un accord
Renault propose un « contrat social de crise » afin de préserver l’emploi par la généralisation du chômage partiel à toutes les catégories de personnel et permettre le maintien des rémunérations jusqu’à 100% du salaire net.
Le 10 mars prochain aura lieu une réunion de négociation pour s'accorder sur les mesures à mettre en place au sein de Renault sas pour passer la crise.
Ce plan a pour priorité première de PRESERVER L'EMPLOI dans un contexte de marché en fort recul.
Une baisse de 20% est attendu pour 2009 d'après Carlos Ghosn.
Concrètement, le 23 février 2009, lors d’une réunion de négociation salariale annuelle, la direction a proposé aux partenaires sociaux un dispositif collectif et solidaire : l’extension du chômage partiel à l’ensemble du personnel, toutes catégories confondues.
Seconde priorité : Maintenir le niveau des rémunérations nettes
Actuellement le niveau de rémunération approche les 80% du salaire net.
Le deuxième enjeu est de donner la possibilité d’une rémunération nette jusqu’à 100%, malgré le chômage partiel, en améliorant l’indemnisation des jours chômés.
De même, les salaires nets des cadres et ingénieurs seraient maintenus intégralement. Un jour de Capital Temps Individuel (CTI) serait prélevé pour 4 jours de chômage partiel (dans la limite de 8 jours de CTI prélevés). Ces jours alimenteraient un fonds de crise.
Les opérateurs et ETAM pourraient également bénéficier du maintien de leur salaire mensuel net, grâce à un complément issu, à la fois, du fonds de gestion de crise et du rachat, au volontariat, de jours de CTI.
Ce dispositif devra être adossé à une convention avec l’Etat français.
Ce plan a pour priorité première de PRESERVER L'EMPLOI dans un contexte de marché en fort recul.
Une baisse de 20% est attendu pour 2009 d'après Carlos Ghosn.
Concrètement, le 23 février 2009, lors d’une réunion de négociation salariale annuelle, la direction a proposé aux partenaires sociaux un dispositif collectif et solidaire : l’extension du chômage partiel à l’ensemble du personnel, toutes catégories confondues.
Seconde priorité : Maintenir le niveau des rémunérations nettes
Actuellement le niveau de rémunération approche les 80% du salaire net.
Le deuxième enjeu est de donner la possibilité d’une rémunération nette jusqu’à 100%, malgré le chômage partiel, en améliorant l’indemnisation des jours chômés.
De même, les salaires nets des cadres et ingénieurs seraient maintenus intégralement. Un jour de Capital Temps Individuel (CTI) serait prélevé pour 4 jours de chômage partiel (dans la limite de 8 jours de CTI prélevés). Ces jours alimenteraient un fonds de crise.
Les opérateurs et ETAM pourraient également bénéficier du maintien de leur salaire mensuel net, grâce à un complément issu, à la fois, du fonds de gestion de crise et du rachat, au volontariat, de jours de CTI.
Ce dispositif devra être adossé à une convention avec l’Etat français.
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