C.Ghosn nie les charges retenues contre lui
L'autre personne mise en cause, l'américain Greg Kelly, entré chez Nissan en tant que directeur juridique associé en 1988 à 32 ans et ancien administrateur de Nissan a également été arr?té la semaine dernière. Pour autant, il a indiqué que la rémunération de son ancien patron était versée en respectant les règles.
L'enquête continue donc au Japon, même si d'après leurs dires, les dirigeants français, et Renault, ont de grandes difficultés à obtenir des informations de la part des autorités locales.
Mitsubishi révoque également C.Ghosn
Hier,le conseil d'administration de Mitsubishi s'est réuni afin de statuer sur le sort de son PDG. Sans grande surprise, la décision a été la même que chez son allié Nissan, à savoir sa révocation. Cette décision a été prise à l'unanimité des 7 membres du conseil
Une enquête interne diligentée chez Renault
En France, Bruno Le Maire, ministre de l'économie a indiqué aux micros de BFM TV qu'un audit interne allait être lancé au sein du constructeur français, que ce soit au sujet de sa rémunération mais aussi sur la question de l'abus de bien social dont le PDG est accusé au Japon.
En l'état, le ministre a confirmé que la situation fiscale de C.Ghosn en France était en règle.