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Comment isoler un van aménagé avec de l'Armaflex et laine de bois

Après notre précédent billet dans lequel nous avons présenté toutes les notions techniques et pratiques relatives à l'isolation de son fourgon, place désormais à la mise en place de notre Armaflex, laine de bois et coton.
Par le 21/12/2022

Pourquoi (ne pas ?) isoler son van ?

Nous avons déjà répondu à cette question dans un précédent article où nous expliquons en détails les principes du l'isolation. Mais pour faire simple, un van comme notre Master, va être exposé aux aléas climatiques et la tôle va à la fois amener le froid en hiver et le chaud (très chaud même) en été. Donc, même si on utilise son van uniquement lors des beaux jours, il va vite faire une chaleur infernale à l'intérieur du fourgon selon la température extérieure. Dès lors, il faut l'isoler, à la fois du froid pour l'hiver et du chaud pour l'été. Et pour cela, tous les matériaux ne se valent pas, loin de là.

L'isolation du fourgon n'est donc, à notre sens pas quelque chose à prendre à la légère, même si son coût et le temps nécessaire sont importants. Par ailleurs, pour le confort à l'intérieur du fourgon, une isolation phonique semble plutôt utile. La question de l'isolation ne s'est donc pas posée très longtemps.

Pour autant, on peut aussi partir du principe qu'il ne sera utilisé que lors des beaux jours, et seulement pour y dormir, donc quand la température baisse. C'est en effet un cas d'utilisation qui se respecte. Mais dépenser une certaine somme pour disposer d'un véhicule finalement peu polyvalent semble être un mauvais calcul. D'où notre choix d'opter pour une vraie isolation. Mais plusieurs types d'isolations sont possibles, il faut donc choisir le bon isolant thermique pour l'aménagement du fourgon, même s'il n'y a pas de réponse universelle à cette question.

Bien sur, cela représente un certain budget et une grosse dose de travail, avec le risque de mal faire. Pour tout ceux qui ne se sentent pas à la hauteur de la tâche, il vaut mieux se tourner vers des spécialistes du camping-car.

Quel isolant et quels matériaux pour isoler un camping-car ?

Comme expliqué précédemment, nous avons fait le choix d'une double isolation pour notre van, à savoir, une couche imputrescible en Armaflex du sol au plafond, doublée d'une isolation par panneaux de laine de bois et/ou coton. Nous avons écarté beaucoup de matériaux comme la laine de verre, le liège projeté et autres, parfois pour des raisons de coûts vs efficacité qui ne vont pas de paire avec un budget raisonnable (comme le liège projeté qui n'est en outre pas très naturel à cause de la colle néoprène, le multicouche etc.), de propriétés comme le tassement ou la résistance à l'humidité incompatibles avec un fourgon (laine de verre, ouate de cellulose), ou de la difficultés de la pose (liège en rouleau).

En revanche, la laine de bois sous la forme de plaques ou de panneaux en fibres de bois et l'Armaflex ont de nombreux avantages. Ils ont toutes les caractéristiques d'un bon isolant thermique en été comme en hiver (chose relativement rare), doublés d'une bonne isolation phonique raison pour laquelle nous les avons choisi. Ils ne présentent donc quasiment que des avantages si ce n'est leur poids qui peut être un frein si vous êtes limités en PTAC (ce qui peut être le cas pour un Trafic par exemple) et pour l'Armaflex, son prix. Pour autant, pour avoir un bon isolant thermique en été, celui-ci doit être dense et donc lourd. A noter que nous avons utilisé deux épaisseurs d'Armaflex, du 19mm et du 10mm. Même chose pour la laine de bois, avec du 45mm et du 100mm.

Pose des tasseaux et de l'Armaflex dans la cabine du camion

Nettoyer et dégraisser pour assurer un bon collage

Après une première étape consistant à nettoyer l'ensemble du van, nous avons procédé au dégraissage de toutes les parois. Comme indiqué, Armacell propose son propre dégraissant. Le prix au litre frise l'indécence comparé à de l'Acétone, mais 1L suffit largement pour faire tout un fourgon. Pas de difficultés particulières, il suffit d'un simple chiffon et de passer partout. Cette couche d’apprêt va permettre de s'assurer que l'Armaflex colle parfaitement sur les parois. Nous avons fait le choix de faire un premier nettoyage normal, puis au dégraissant fourni au fur et à mesure de notre avancement pour éviter que de nouvelles saletés ne se déposent.


Après avoir retiré toutes les protections, on dégraisse les parois

Pose des tasseaux

Pour la seconde étape, nous avons commencé par poser les tasseaux. Au niveau du sol (mais nous y reviendrons), nous avons mis en place des tasseaux de 27mm, collés sur la partie creuse du sol ondulé. 11 tasseaux sont donc collés au Sika 11FC sur toute la longueur et quelques tasseaux supplémentaires sont disposés avant et après les passages de roues sur les bords. Leur collage nous permet éviter de percer le plancher du van.


Pose des tasseaux au sol entre lesquels on viendra placer les bandes d'Armaflex

Sur les parois, même chose. Nous avons cependant une problématique: nous voulons maximiser l'espace à bord. Nous devons donc suivre la courbure du fourgon au mieux.

Les tasseaux sont donc plus fin (moins de 20 mm) et fixés à l'aide de vis perforantes pour métal sur les parois et colle Sika. Pas le choix que de faire des trous. Étant donné que les parfois ne sont pas toutes au même niveau selon les renforts, nous avons utilisés deux épaisseurs de tasseaux, parfois légèrement en quinconce. Nous devrons ensuite jouer sur la souplesse du lambris décoratif en espérant qu'il n'y ait pas de complications. Rien ne sera donc parfaitement droit, ce qui veut dire que la mise en place des meubles sera plus complexe.

Étant donné la courbure des parois, nous avons du couper en trois certains tasseaux notamment ceux près des portes arrières. Une première partie droite assez grande, une seconde plus petite pour la partie la plus courbée, et une dernière droite.


Certains tasseaux sont coupés en 3 pour épouser la forme générale

Enfin, sur la partie haute à l'arrière, nous avons utilisé des tasseaux plus importants afin de venir y placer des meubles hauts qui pourraient s'avérer lourds. Il faudra juste bien les repérer afin de venir les visser.

Isolation des parois

La troisième étape dans l'isolation du van, la plus simple au final, a consisté à découper les panneaux. Il suffit de prendre les bonnes mesures, en prenant un peu de marge. Nous avons longuement hésité, pour les renfoncements divers et nombreux, à couper à la bonne taille puis faire une bande, ou bien à utiliser la souplesse de notre Armaflex et tout recouvrir. Il est certain que moins on fait de découpe, moins on risque de faire des ponts thermiques. Mais cela implique de nombreux "arrondis" qui vont compliquer (un peu) la mise en place de la laine de bois ensuite. Nous avons décidé de ne pas trancher et de faire du cas par cas sans savoir quelle est réellement la meilleure solution.


Puis on place l'Armaflex sur les parois

Pour la découpe, il suffit d'utiliser un cutter avec une bonne lame. Si tel n'est pas le cas, la découpe va provoquer la dégradation du bord de l'Armaflex ce qui va nuire à ses performances. Nous en avons fait l'expérience à une heure où il nous était impossible d'acheter des lames et avons persévéré... Nous n'aurions pas du.

Pour le couper, nous avons tout réalisé dans le van, sur notre plancher bois doublé d'une couche épaisse de carton. Pour pouvoir couper droit après avoir pris les bonnes mesures avec une marge de 0,5 cm de chaque coté, nous avons utilisé un rail pour placo, ou une grand règle en alu.

Le collage de l'Armaflex se fait assez facilement. Il suffit de retirer la bande adhésive. Attention cependant, car une fois collé, tenter de le repositionner détruira totalement l'Armaflex. Il font donc viser juste et bien dès le départ. Du coup, plutôt que de retirer toute la bande adhésive, il vaut mieux le faire petit à petit ce qui évitera les erreurs de manipulation. A noter que faire cette manipulation à deux sera plus simple, d'autant plus que la difficulté de pose augmente proportionnellement avec la longueur de la bande à coller et/ou de l'emplacement.

Là où l'Armaflex devient vite pénible c'est pour tous les renforts, passages de roues, etc... Tout ce qui n'est pas droit devient vite galère et source de perte de temps. A noter également qu'autant sur de larges bandes, le collage est impeccable (trop parfois), sur de petites bande de 2-3cm, que l'on va placer sur une surface courbée (comme un renfort), le produit va se décoller. Il faut donc mieux recouvrir ces surfaces avec une large bande pour un résultat optimal.


Il ne reste plus une seule partie de carrosserie à nue

Pour chaque raccord entre les différentes bandes, on utilise une bande de 3 mm d'épaisseur afin de s'assurer qu'il n'y a pas de pont thermique. Mais si on dispose encore d'une épaisseur suffisante, autant ajouter une autre couche d' Armaflex.

Une fois les parois totalement recouvertes, nous passerons à la laine de bois.

Isolation du toit

Pour le toit, le procédé est similaire. Là aussi, il y a tous les renforts à prendre en compte. Nous avons donc coupé de larges bandes d'Armaflex, puis fait les raccords ensuite. Et quand l'Armaflex collait mal du fait de la courbure et d'une largeur trop fine, nous avons utilisé une colle en cartouche (SIKA ou autre). Le résultats n'est esthétiquement pas formidable, mais nous avons tout recouvert ce qui était l'objectif.

Nous avons posé des tasseaux fins sur chaque renfort (colle+vis). L'épaisseur du renfort (que nous avons rempli de coton ainsi que celui de l'Armaflex en 19mm nous donne quasiment 5 cm, soit l'épaisseur de la laine de bois. A note que l'Armaflex affleure les tasseaux.

A noter la mise en place du lanterneau qui n'a pas posé de problèmes avec l'Armaflex.

Isoler le sol du van: Armaflex uniquement, au détriment du liège

Pour le sol, comme expliqué précédemment, notre choix s'est aussi porté sur l'Armaflex, et non sur du liège. D'une part le liège est cher, et d'autre part, son épaisseur n'assure en réalité pas une très bonne isolation contrairement aux idées reçues (voir notre article précédent à ce sujet). Nous allons donc le réaliser en Armaflex, et pour s'assurer d'un minimum d'isolation, nous sommes partis sur du 19mm (nous assurant ainsi un "R" de 0,5, certes pas terrible, mais largement mieux qu'avec du liège de 2 mm qui nous aurait donné un "R" 10 fois inférieur).

D'après nos calculs, avec une épaisseur de presque 2cm d'isolant et le plancher, ainsi que l'isolation du toit, nous pourrons toujours nous déplacer debout dans le van (avec environ 1m85 de hauteur disponible). Autant en profiter !


Le sol  est recouvert d'Armaflex en 19mm et de tasseaux de 27x27mm collé au SIKA 11FC. En arrière place, les portes encore à nues

L'Armaflex ne supportant pas bien d'être tassé, nous avons, comme vu précédemment, placé des tasseaux de 27mm au sol. Ces tasseaux vont de plus nous permettre d'utiliser un sol en contreplaqué assez fin (environ 1cm), en l’occurrence, de récupération. C'est toujours ça d'économisé.

Entre chaque tasseaux, nous avons collé des bandes d 'Armaflex que nous avons découpé. Enfin, pour éviter de dégrader l'isolant, nous avons fait le choix après mûres réflexion de ne passer aucun câble électrique à ce niveau.

Pose de la laine de bois

Une fois l'Armaflex posé, nous passons à la laine de bois que nous a fourni la boutique materiaux-naturels. Comme pour la laine de verre, la laine de bois se présente sous la forme de panneaux. Plus rigide que la laine de bois brute et émettant moins de poussières sa mise en place est assez similaire.

Nous avons fait le choix d'une épaisseur de 5cm. Un choix judicieux pour le haut des parois, ainsi que le toit. En revanche, sur le bas des cloisons, l'espace disponible est bien plus important, et nous avons ainsi choisi de mettre de la laine de bois en 10cm quand cela était possible, doublant ainsi le R. Cette laine de bois de 10cm provenait de récupération, et a soulevée pas mal de poussière. Bien plus que celle de 5 cm. Attention à la qualité donc !


Un panneau de laine de bois

Rappelons que les performances de la laine de bois sont très bonnes tant pour l'hiver que pour l'été (contrairement à la laine de verre) tandis que ses caractéristiques pour l'isolation phonique sont également très élevées. Un produit qui présente donc de nombreux avantages tout en étant naturel.

La pose sur les parois est très simple. On place la laine de bois en la compressant très légèrement pour la faire tenir. Nous avions également anticipé la pose en laissant dépasser certains tasseaux le long des parois, ce qui va bloquer la laine de bois afin qu'elle ne bouge pas. Et en cas de doute, il suffit de placer un fin tasseau (ou latte de parquet ou de lit, ou même une plinthe) en horizontal et le tour est joué.


La laine de bois est fixée grâce aux tasseaux et à sa légère compression sur les parois

La laine de bois se découpe avec un couteau spécifique. Nous avons chois de nous en passer pour économiser quelques euros et de couper avec un couteaux bien aiguisé. Mauvaise idée. Si au départ cela fonctionne, le coûteux devient vite inutilisable et la découpe, galère. Une mauvaise idée donc. Du coup, notre découpe se retrouve vite vraiment très vilaine. Mais on a choisi aux endroits où des trous semblaient se dessiner, de les "bourrer" avec de la laine de bois en vrac récupérée sur des panneaux mal découpés ou sur des chutes. Pas de gâchis !

Si poser la laine de bois sur les parois est simple, en revanche pour le toit, c'est plus dur. Nous avons réussi à plaçant de fins tasseaux ou plaintes cloués sur les tasseaux fixés sur le fourgon et avons ensuite glissé la laine de bois au dessus.


Pose de la laine de bois entre l'Armaflex et les tasseaux temporaires. Sur la gauche, le frein-vapeur qui va protéger toutes les zones comportant de la laine de bois (voir ci-dessous).

Comment isoler les longerons d'un fourgon ?

Dans tous les espaces peu accessibles comme les renforts ou les longerons au niveau des parois du fourgon et du toit -et ils sont nombreux- nous utilisons comme prévu du coton recyclé. Facile à mettre en place, il suffit de combler les trous, en tassant un peu. Puis, nous recouvrons ces parfois d' Armaflex, parfois en 1 cm, parfois en 1,9 cm selon les endroits, afin de venir affleurer avec les tasseaux et ainsi protéger la laine de l'humidité car non seulement l'Armaflex forme une couche imputrescible, mais il bloque également le passage de l'humidité.

Nous avons cependant longuement hésité à les laisser vide. En créant ainsi une lame d'air de chaque côté, l'isolation aurait été égale sinon meilleure, l'air étant le meilleur isolant qui puisse être. Une solution simple et économique. Cela aurait de plus réduit (un peu...) le poids de l'aménagement. Pour autant, en comblant ces espaces, nous améliorons (une fois encore) l'isolation acoustique et l'isolation pour l'été.

Pour finir, le frein-vapeur pour protéger l'isolant du van aménagé

Pour finir le tout, avant de placer le lambris bois, nous recouvrons les parois du fourgon et plafond d'un frein vapeur. Le frein vapeur va avoir pour mission de réguler comme son com l'indique l'humidité, tout en sachant que la laine de bois, tout comme le coton, sont relativement peu sensibles à la vapeur d'eau. Relativement peu certes, mais pas totalement. Nous préférons donc mettre en place ce frein-vapeur, qui nous a d'ailleurs été conseillé par le distributeur, à l'intérieur du fourgon. Quant à l'Armaflex, il s'agit d'une couche imputrescible, donc totalement insensible.

Pour le placer, le fabricant préconise de bien tirer la toile. C'est relativement facile quand tout est droit, à l'inverse, sur un fourgon dont les parois sont courbées sur la partie haute avec de nombreux décalages un peu partout, ce n'est gère simple. Nous avons fait au mieux. Le frein-vapeur a été agrafé aux tasseaux de bois que nous avions installés, puis scotché de part et d'autre avec un produit spécialement fourni pour ne pas laisser la moindre entrée d'air.


Pose du pare-vapeur au dessus de la laine de bois, fixée par des agraphes sur les tasseaux + scotch

Le frein-vapeur a été moyennent tendu de sorte que lors de la pose du revêtement (dans notre cas, le lambris bois), ce dernier vienne le plaquer. Et si au final, il se retrouvait trop tendu, nous devrions retirer les agrafes sur la partie haute afin d'adapter la tension appliquée.

Au niveau du toit, c'est justement ce frein-vapeur qui va tenir la laine de bois le temps que le lambris final soit posé. Nous avons placé le frein-vapeur dans le sens de la largeur en prenant soin de bien le tendre et de le fixer au fur et à mesure que nous retirons les fins tasseaux temporaires qui tenaient l'isolant. Au final, la manipulation reste assez simple. A noter que nous en avons profité pour ajouter un peu de laine de bois en vrac ici ou là pour bien tout combler. Enfin, chaque bande est scotchée de part et d'autre.

Pose du lambris

La dernière phase consiste à poser le lambris, la fameuse 3ème couche de notre isolation qui calera l'isolant et fera office de décoration. Comme rien n'est totalement droit, il convient d'en choisir un assez fin car on va jouer sur sa flexibilité. Et même s'il est fin, la pose n'est pas si évidente que cela.

Sur les parois, aucune difficulté. On le vis sur les tasseaux. A noter qu'il est préférable de pré-percer afin d'éviter que le tasseau ne se fendille. Il existe également de petites pattes qui permettent une fixation invisible.

Au niveau du toit en revanche, le lambris va venir supporter le poids de la laine de bois. La pose est donc plus délicate. Là, les fixations invisibles ne peuvent supporter le poids. Il est donc préférable de les visser sur les tasseaux.

Évidemment, avant la pose du lambris, ne pas oublier de passer les différents câbles électriques, notamment pour les parois les prises, et pour le plafond, les lumières.

La potentielle nouvele génération de Masters à venir pourrait régler certains problèmes d'isolation. 

Les questions les plus posées

Quelle épaisseur d'Armaflex ?

L'Armaflex éxiste en plusieurs épaisseurs, mais le plus commun est le 19mm. Pour isoler un fourgon, ce dernier est parfait. Il peut être utilisé en simple ou double couche. Enfin pour certains endroit, du 6mm ou 10mm est également plus pratique.

Quel est le meilleur isolant pour un van ?

A notre sens, le meilleur isolant pour un van est un mix d'Armaflex et de laine de bois. Ils sont tous les deux très efficace en été et en hiver. La laine de bois est en outre, relativement peu chère.

Comment isoler son van avec l'Armaflex ?

Pour isoler son van avec l'Armaflex, il suffit de placer des tasseaux de bois et de venir coller les bandes d'Armaflex entre ces tasseaux. Ces derniers seront ensuite utilisé pour venir fixer le revêtement final.

Avec quoi couper l'Armaflex ?

L'Armaflex peut être coupé avec un cutter. Cependant, il sera nécessaire de souvent changer la lame, car l'Armaflex va rapidement l'user.
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